Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
ce décompte devrait être affiché en grand au fronton de toutes les mairies de France pour que les français réfléchissent un tout peut y peu
pourquoi ne pas emprunter auprès des contribuables sous forme de credits d’impôts?. cela pourrait être une charge d’interêts plus favorable pour l’état et même pour le contribuable qui a bien du mal à placer son argent sans en perdre. Par ailleurs, il serait souhaitable que comme en Allemagne, la juridiction suprême soit amenée à se prononcer sur les déficits excessifs
On est mal barrés avec ce gouvernement de clowns
Ouch !
Je regarde pendant 5 minutes tous les soirs la dette augmenté avant de dormir. Comme ça le moral est au plus bas
Depuis des années, un refrain bien connu rythme le débat public : « Les Français vivent au-dessus de leurs moyens ». Si la dette publique enfle, ce serait la faute d’un peuple trop gourmand en aides sociales, en retraites, en hôpitaux, en services publics. En somme, la dette ne viendrait pas des choix politiques, mais de la prétendue « paresse » ou du « coût » des citoyens. Mais posons-nous une question simple : qui nous tient ce discours ? Souvent, ce sont des gouvernants au patrimoine de plusieurs millions d’euros. Des responsables politiques issus de la haute fonction publique, de la finance, du conseil, ou de familles déjà privilégiées. Autrement dit, ceux qui ne subissent jamais vraiment les conséquences des « efforts » qu’ils imposent. — La dette : un choix politique, pas une fatalité La dette n’est pas une conséquence mécanique des « dépenses sociales ». Elle résulte d’un empilement de choix budgétaires faits depuis 40 ans : Baisse de l’impôt sur les sociétés : en 40 ans, il est passé de 50 % à 25 %. Résultat : des milliards en moins pour l’État. Suppression de l’ISF (2018) : un cadeau de près de 3,5 milliards d’euros par an aux plus riches. Niches fiscales et sociales : chaque année, plus de 80 milliards d’euros d’exonérations sont consenties aux entreprises, sans évaluation claire de leur efficacité. Privatisations : qui assèchent les recettes publiques et enrichissent quelques actionnaires. Intérêts de la dette : chaque année, l’État verse des dizaines de milliards aux marchés financiers. Autrement dit, la dette rapporte surtout à ceux qui en détiennent les obligations… donc, encore une fois, aux plus riches. Est-ce vraiment le retraité au minimum vieillesse, l’infirmière ou le chômeur qui creusent la dette ? Ou bien ces décisions politiques qui affaiblissent volontairement les recettes publiques et enrichissent une minorité ? — Le renversement de culpabilité Ce qui est frappant, c’est le discours culpabilisant : « C’est la faute des Français ». Cette rhétorique sert un objectif clair : faire accepter de nouvelles coupes dans les services publics, repousser l’âge de la retraite, réduire les prestations sociales. Pendant ce temps, les ultra-riches, eux, sont exonérés d’effort. La fortune des milliardaires français a été multipliée par quatre en 10 ans. La concentration des richesses atteint des niveaux records, mais c’est toujours « le peuple » qu’on accuse de coûter trop cher. — L’ironie mordante d’un gouvernement de millionnaires Il y a là une ironie presque indécente : Ceux qui demandent au peuple de se serrer la ceinture sont ceux qui vivent dans l’aisance, souvent protégés de toute précarité. Ils parlent de « rigueur » pour les autres, mais jamais pour eux-mêmes ni pour les intérêts de ceux qu’ils représentent. Un gouvernement composé en grande partie de millionnaires qui explique au pays que la dette, c’est « la faute des Français »… c’est un peu comme si un banquier accusait ses clients d’avoir provoqué la crise financière. — Conclusion : qui doit payer ? La question… Lire la suite »